lundi 1 octobre 2007

L'immobilité impensable d'un récit arrêté


















"Alors tout est dit - a déjà été pensé - et l'on vient trop tard"
(Issa, cité par Forest dans Sarinagara, cf message précédent)

Allez faire un tour chez Bil

2 commentaires:

Olga Theuriet a dit…

Ce sont deux images différentes, en général je trouve vos murs et les surfaces urbaines plus largement, les trottoirs, le béton, souvent froids et inquiétants. Est-ce que vous retouchez beaucoup ? Est-ce un aspect que vous cherchez à obtenir ?

Emanille a dit…


Les flammes du récit
Jamais ne cesseront
Cendres éternelles