jeudi 1 novembre 2012

"Il y a des matinées si tristes..."
























(Cliquez sur la photo pour l'agrandir)

"Tous les "sauvetages" du Projet échouent. Je me retrouve sans rien à faire, sans aucune oeuvre devant moi. Sauf les tâches répétées de la routine. Toute forme du projet: molle, non résistante, coefficient faible d'énergie. "A quoi bon."
- C'est comme si advenait maintenant avec clarté (retardé jusqu'ici par des leurres successifs) le retentissement solennel du deuil sur la possibilité de faire une oeuvre.
Epreuve majeure, épreuve adulte, centrale, décisive du deuil."
(Roland Barthes, Journal de deuil)

3 commentaires:

Stéph a dit…

Si vous traversez l'enfer, continuez d'avancer.
W. Churchill

Unknown a dit…

Mes plantes de pied ont été grillées depuis bien longtemps, je ne risque plus rien.

Emanille a dit…



...Que l'ombre elle-même
En perd son sud, son nord
Son ouest et même son Est...!!!