lundi 24 mars 2008

Parfois la vie est fatigante
















Je viens de découvrir le travail de ce photographe.

Je balance entre colère et admiration.

Bravo à lui.


Cliquez sur la photo pour visiter son site.
Soyez curieux, prenez votre temps quand vous y serez.

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Je suis plutôt "colère", je n'aime pas ces "petits vols" de désepoirs humains qui sauf à valoriser nos petits bonheurs ne résolvent pas ces misères à nos pieds...
"Fricks" on the road, bad feeling!

Unknown a dit…

am, est-ce là seulement ce que tu y as vu?
T'es-tu promené dans toutes ses galeries?
Pour ma part je n'y vois pas de "vol" sauf celui qui concerne toute captation photographique.
J'y vois plutôt de la poésie.
Pour le reste, le débat est toujours ouvert, montrer, ne pas montrer, rien ne sert à rien,...
Qu'ont changé Steinbeck, Lee Friedlander ou John Ford en montrant les hordes lancées sur les routes de la dépression? Rien à part un peu notre regard, je crois. Ce n'est pas grand-chose mais souvent les politiques ne réussissent même pas ça.
Sinon, le chocolat de Pâques n'est pas digéré?
En tout cas je suis content que tu continues à te promener par ici.

Anonyme a dit…

je n'ai pas vu le reste, je plonge demain!

Anonyme a dit…

OK, bas le masque sur la galerie: méa culpa!
Cette ballade des "décalages" empreinte de poésies,d'émotions de territoires authentiques, d'instants de petits bonheurs,de visions contrastées, rend ma petite sphère quotidienne bien monotone.
Et je ne rechigne pas sur mon plaisir du noir et blanc (souvenir de mon club photo du lycée)qui donne aux lieux du volumes ,de la lumière et du peps.
Il est clair que le photographe permet à chacun de faire évoluer notre regard. Comme les mots, il participe à l'émulation collective.
Et finalement, "aimer ce n'est pas regarder l'un l'autre, c'est regarder ensemble dans la même direction" Saint Ex
Question chocolat "safi", je préfère oublier...