mardi 10 mai 2011

Douceurs viennoises
























(Cliquez sur la photo pour l'agrandir)

C'était la nuit, l'hiver, dans Vienne.
Le Café central tissait sa toile à touristes vers moi; ma journée de photographie m'avait épuisé, elle m'y déposa doucement.
Schnitzler, Musil, Von Hoffmanstahl, Freud n'étaient pas là. Ils dormaient déjà, sans doute.
En tout cas, je m'y suis senti assez seul.

Aucun commentaire: